En 1960, Mikis Theodorakis entame une série de compositions sur des paroles de grands poètes grecs – l’Epitaphe, poème de Yannis Ritsos, et Axion Esti d’Odysseus Elytis, futur prix Nobel de littérature – sur des motifs et avec des musiciens issus de la chanson populaire urbaine.
Avec l’analyse poétique et musicale de Axion Esti, Maria Zerva de l’Université de Strasbourg et Panagiota Anagnostou de l’École française d’Athènes font découvrir la réception de cette œuvre, le contexte mouvementé qui l’a vu naître et les multiples facettes de la grécité qu’elle dévoile.