© Ashraf Kessaïssia
Après le succès de ses reprises d’Idir pendant le confinement, la soprano Amel Brahim-Djelloul rend hommage aux chants de Kabylie avec le récital et l’album Les chemins qui montent, un titre inspiré du roman éponyme de Mouloud Feraoun. Ces chemins sont ceux des montagnes, métaphore de l’apreté de la vie et ceux que trace la cantatrice entre les traditions occidentale et orientale, l’art lyrique et les mélodies de son enfance. Accompagnée de ses musiciens, elle interprète les plus belles chansons d’Idir, Djamel Allam, Djurdjura, Taos Amrouche et des compositions originales de Thomas Keck sur des textes du poète Rezki Rabia, reflétant toute la richesse de la langue et de la culture berbères.
Amel Brahim-Djelloul, chant, René Lagos-Diaz, guitare, Rachid Brahim-Djelloul, violon,alto.
« Les chemins qui montent » évoque le troisième roman de Mouloud Feraoun publiéen 1957. Mouloud Feraoun (1913-1962) est un des grands écrivains d’origine kabyle qui a su, au travers de son écriture, décrire la dure vie en Kabylie à son époque.
Entrée libre et gratuite.
Réservation obligatoire sur
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