Strasbourg-Méditerranée | Oran et autres lieux
Oran, ville millénaire a été le cadre romanesque de nombre d’écrivains, Cervantès pour El Gallardo español, Albert Camus pour La peste, Emmanuel Roblès pour Jeunes saisons, Abdelkader Djemaï pour 'Un été de cendres'
Strasbourg-Méditerrané; strasmed; Alsace; histoire; mémoire; culture; festival; littérature; musique; rencontres
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RENCONTRE-LECTURE 

Proposé par Strasbourg-Méditerranée

En partenariat avec l’association PasSages

Lundi 30 novembre
17h00

Librairie Kléber

Entrée libre

 

Oran-et-autres-lieux

Oran, ville millénaire a été le cadre romanesque de nombre d’écrivains, Cervantès pour El Gallardo español, Albert Camus pour La peste, Emmanuel Roblès pour Jeunes saisons, Abdelkader Djemaï pour Un été de cendres. Au lieu connu, délimité, raisonné se superposent d’autres lieux, symboliques, imaginaires : ceux de la reconstruction fantasmatique, de la création de mythes et de légendes qui peuvent constituer un imaginaire collectif.

Tout un pan de la littérature tourne autour de ce lieu-source comme le nomme Jean Rouaud. Le Jefferson de Faulkner, le Macondo de Garcia Marquez, le Combray de Proust, le Manosque de Giono, le Pointe-Noire de Mabanckou.

Avec :

Jean Rouaud, écrivain, prix Goncourt 1990 pour Les Champs d’honneurMisère du romanEtre un écrivain (2015)
Yahia Belaskri, né à Oran,   écrivain et journaliste, auteur notamment de Si tu cherches la pluie, elle vient d’en haut ( 2010), prix Ouest- France/Etonnants voyageurs, 2011 et Le fils du jour ( 2014)

 

       Deuxième partie

Lecture hommage à Malek Alloula

Villes et autres lieux

Malek Alloula

Né en 1937 à Oran, il est décédé en février 2015 à Berlin. Ecrivain, poète, essayiste et critique littéraire, il laisse une œuvre d’une densité, d’une exigence, d’une profondeur rare – entre autres des recueils de poésie Villes et autres lieux, des essais, Les festins de l’exil… Celui qui déclare «  Le poète se tient à sa place, décalé. C’est un homme de mots, mais de mots silencieux, rares. Quant au dire poétique, comment ne pas être sensible à sa fragilité, à sa ténuité vibratile ? Comment ne pas retrouver, dans certains et nombreux vers de l’universelle poésie, les échos de tant d’indubitables, irrépressibles frissons de vie ? » (Le soir d’Algérie)

Salah Oudahar : voix

Christian Ott : musique

 

 

 

 

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