
Credit © Tamasa Diffusion
Un tableau joyeux et coloré de l’Andalousie arabe au XIIe siècle, mais aussi et surtout une peinture impitoyable de la violence politique déguisée en pureté religieuse. Un homme est brûlé sur un bûcher, au pied des remparts de Carcassonne. Son crime ? Avoir traduit les textes d’un hérétique, un musulman, arabe andalou, Abou el-Walid ibn Rushd, plus connu sous le nom d’Averroès…
La projection sera suivie d’un débat.
Pour en savoir plus, la rencontre L’humanisme méditerranéen en questions, jeudi 2 décembre à la BNU à 18h se propose d’explorer les sources judéo-arabes, Jérusalem et Cordoue, de l’humanisme classique, à travers l’oeuvre du philosophe et islamologue Mohamed Arkoun.
► Informations détaillées et inscription à retrouver sur le site et la page du programme.